PDES - Tese de doutoramento
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- Preschool affiliative networks : a socio-structural analysis of the behavioral ecology of natural peer groupsPublication . Santos, António JoséDurant les troís dernières décennies, les chercheurs ont accordé une importance croissante au role des pairs dans le processus de socialisation de l’enfant. Toutefois, la majorité des recherches sur le développement de 1'enfant traitent principalement des différences individuelles du statu social et négligent, de façon tacite, l'examen des contraintes relationnelles inhérentes à 1'écologie des groupes de pairs. En contraste, les approches socio-éthologiques ont souligné comment les groupes naturels soumissent une variété de rôles sociaux distincts susceptibles d'influencer la croissance et le développement individuel. Malgré tout, les analyses éthologiques se sont longtemps limitées à documenter uniquement les relations agressives et la structure de dominance dans les groupes. Parallèlement, des recherches similaires sur 1'organisation affiliative furent entravées par 1'absence de modèles propres à 1'étude des structures sociales cohésives. Les analyses contemporaines des réseaux affiliatifs entre pairs, selon les profils d'association, offrent une base descriptive heuristique pour 1'étude de 1'organisation cohésive du groupe à Age préscolaire. Toutefois, 1'usage exclusif du comportement affiliatif, à titre d'indice socio-structurel. réduit d’autant 1'examen de la qualité de réinsertion individuel dans la structure affiliative et de son influence sur les activités sociales des enfants. De plus, les analyses portant sur la discrimination sociale se doivent de dépasser les considérations sur 1'association à un sous-groupe particulier afin de mieux définir l’impact des entourages locaux sur le développement individuel. Une attention particulière doit être accordée à la stratification des réseaux affiliatifs et à 1'influence probable des différences de statut sur 1'organisation des relations cohésives. Dans cette recherche, 1'évaluation des réseaux est réalisée à partir d'indices de proximité inter-personnelle et de mesures sociométriques pour déterminer la préférence sociale envers les partenaires de jeux. Ces procédures complémentaires permettent l'analyse empirique de la stratification des sous-groupes et 1'examen de la variabilité du phénomène de discrimination sociale. Dans la première étude, des patrons collectifs de proximité interpersonnelle et d'investissement prosocial pendant les activités de jeu libre servent à identifier les choix associatifs des enfants. L'échantillon comprend trois groupes d'enfants Portugais d'âge préscolaire. L’échantillonnage par balayage instantané est utilisé pour identifier les sous-groupes naturels sur une période de trois mois. A la fin des observations, les nominations sociométriques positives et négatives des partenaires de jeux sont obtenues par entrevues individuelles. L’application d'algorithmes matriciels et de techniques multivariées développées par Strayer et ai. (1988) génèrent des résultats descriptifs des réseaux mettant en évidence certaines similarités dans 1'organisation affiliative des trois groupes préscolaires et indiquant qu'une vaste majorité d'enfants sont intégrés dans des cliques sociales cohésives. Les résultats d'analyse des nominations positives et négatives révèlent que 1'appartenance des enfants à des cliques cohésives est associée à une préférence marquée vers 1'endogroupe sans rejet face à 1'exogroupe. Inversement, les membres des agrégats sociaux ne démontrent pas de préférence envers l’endogroupe. L'analyse de Ia stratification sociale indiquent que les sous-groupes affiliatifs se distinguent entre eux sur la dimension de la désirabilité des pairs et aussi que les membres de chaque sous-groupe ont, de façon significative, tendance à obtenir des scores similaires de désirabilité. Enfin, l’introduction des statuts différentiels dans les analyses du biais endogroupe permet de souligner que les membres de cliques de haut et moyen statut sont fortement discriminants IV en faveur de leurs co-membres tandis que les enfants de diques de bas statut ne démontrent pas de préférence significative similaire. Dans la seconde étude empirique, 1'analyse des réseaux s'élargie par 1'utilisation de données sur "le voisin le plus près" recueillies durant trois sessions consécutives d'une année scolaire auprès d'un groupe d'enfants Américains d'âge préscolaire. L'évaluation du biais social et de la stratification sociale est dérivée d'une méthode sociométrique de comparaison par paires qui fournit une meilleure information en terme de stabilité et d'ampleur. De plus, 1'attention sociale est utilisée à titre d'index comportemental pour valider les procédures d’analyse de réseaux et de stratification et afin d'évaluer les fonctions de socialisation potentielles des sous-groupes particuliers dans le contexte plus large du groupe de pairs. Le choix de 1'attention sociale offre également 1'opportunité de contribuer au débat actuel en éthologie de 1'enfant sur les modèles d'organisation sociale des groupes de pairs. L’information extensive fournie par la méthode sociométrique de comparaisons-pairées révèle une plus forte similarité des sous-groupes au niveau de la désirabilité des pairs. De plus, les enfants de cliques de haut statut démontrent une plus grande préférence vers 1'endogroupe que les enfants de cliques de moyen ou bas statuts. Enfin, les enfants de cliques de bas statut manifeste une préférence endogroupe significative ce qui fournit une validation additionnelle à la conception de réseaux de diques sociales cohésives. Les analyses sur le biais dans 1'attention sociale indiquent que les membres des cliques sont fortement biaisés envers leurs co-membres. D'autre part, les membres des agrégats sociaux ne démontrent pas un tel biais dans 1'allocation de leur attention sociale. Ces résultats confirment la vision initiale quant aux différences dans la nature cohésive des deux types de sous-groupes affiliatifs et fournissent une importante validation externe pour la présente approche socio-structurelle. Le degré de magnitude de 1'attention sociale des enfants envers leur co-membres augmente en fonction du statut de leur clique et demeure significatif même pour les enfants de bas statut. La réalisation d'analyses additionnelles sur la distribution de l’attention non dirigée vers des co-membres indiquent que 1'attention sociale reçue des pairs provient principalement des membres de la clique sociale immédiate de 1'enfant et dans une proportion beaucoup moindre par les pairs situées en dehors de 1'entouragé affiliatif immédiat. Cependant, les membres de sous-groupes de plus haut statut démontrent une plus grande capacité pour attirer 1'attention résiduelle des enfants d'autres groupes de pairs. Un tel résultat supporte la notion que 3e degré de stratification social, aussi bien que l’association cohésive influencent la distribution de 1'attention sociale à 1'intérieur d'un groupe stable de pairs. La discussion des résultats de la présente recherche aborde la question de 1'étude des activités cohésives et dispersives chez les groupes de pairs d'âge préscolaire dans une perspective éthologique renouvelé. Une intégration interdisciplinaire des recherches sur les bases biologiques et psychologiques du développement comportemental est proposée afin de mieux démontrer 1'ínfluence des rôles sociaux structurés au sein des groupes de pairs sur 1'adaptarion et le développement social à long terme de 1'enfant. ------ ABSTRACT ------ During the last three decades, developmental research has increasingly emphasized the relevance of peer relations in children's socialization. However, most studies of child development still focus upon individual differences in social status, tacitly neglecting relational constraints inherent in the ecology of the peer group. In contrast, socio-ethological approaches have stressed that natural groups provide a variety of distinct social roles that differentially impact upon individual growth and development. However, ethological analyses have often been limited to aggressive relations and group dominance structures. Cornparable studies of affiliative organization have been hampered by the paucity of models for the study of cohesive social structure. Current network analyses of patterns of peer association offer an heuristic basis for investigating the cohesive organization of preschool stable groups. However, the exclusive use of affiliative behavior as a socio-structural index imposes limits on analyses of how insertion into the peer group affiliative structure influences the patterning of children's social activity. Moreover, analyses of social discrimination must extend beyond consideration of subgroup association in order to better characterize the impact of cohesive local contexts on individual development. Attention must be to given to the stratification of children!s affiliative networks and to the potential influence of status differentials on the organization of cohesive relationships. In the present research, network assessments based on indices of interpersonal proximity are integrated with sociometric methods for determining "likability" of play partners. Together, these procedures permit an empirical analysis of subgroup stratification and variation in subgroup discrimination. In the first empirical study. Vil collective patterns of interpersonal proximity and prosocial involvement during free play were examined as indices of associative patterns in three Portuguese preschool groups. The observational assessment was based on repeated scan sampling of naturally occurring subgroups during a three month period. Children's sociometric nominations of most and least liked play partners were obtained from individual interviews following the observation period. Using matrix algorithms and multivariate techniques developed by Strayer et al (1988), the network descriptive results show similarity in the affiliative organization for the three groups, with the vaste majority of children integrated within cohesive social cliques. Analyses of positive and negative nominations revealed that children's membership in cohesive cliques was associated with strong ingroup preference but not with outgroup rejection. In contrast, members of social aggregates showed no ingroup preference. Social stratification analyses revealed that affiliative subgroups differed on a peer likability dimension and that there was a significant tendency for subgroup members to have similar likability scores. Finally, the introduction of status differentials in the analysis of ingroup bias revealed that members of high and medium status cliques were highly discriminative in favor of co-members, while in contrast, children in low status cliques showed no significant ingroup preference. In the second empirical study. network analysis were extended using nearest neighbor data collected during three sessions of the school year in an American preschool group Assessments of social bias and social stratification were derived from a paired comparison sociometric method which yields more stable and extensive information. In addition, social attention was used as a behavioral index for validating the network and stratification procedures and for assessing potential socializing functions of particular vm subgroups in the larger context of the peer group. The choice of social attention also offer the possibility to contribute to an ongoing debate In the child ethology literature concerning models of peer group social organization. The more extensive information provided by the paired-comparisons sociometric method showed stronger subgroup similarity in peer likability. Moreover, children in high status cliques reveal more ingroup preference than children in medium or low status cliques. Most important, children in low status cliques showed significant ingroup preference, a result that provide additional validation for the network conception of cohesive social cliques. Analyses of bias in social attention revealed that clique members were highly biased towards co-members. Members of social aggregates showed no such bias in the allocation of their social attention. These findings confirm the earlier view of differences in the cohesive nature of the two types of affiliative subgroups, and offer an important external validation of the present socio-structural approach. The magnitude of children1 s ingroup attraction of social attention increased as a function of the status of their clique but was significant even for low status subgroups. Supplementary analyses of the distribution of attention not directed to co-members indicated that social attention received from peers came predominantly from members of a child’s immediate social clique and to a considerable lesser degree from peers outside the immediate affiliative entourage. However, members of higher status subgroups appeared to nave slightly more capacity to attract the residual attention of other peer group members. Such a result supports the notion that social standing as well as cohesive bonding influences the distribution of social attention within the stable peer group. Results of the present research are discussed in terms of future ethological approaches to cohesive and dispersive activities in preschool peer groups. An interdisciplinary integration of biological and psychological research on behavioral development is proposed in order to IX furthering the understanding of how social roles within early peer groups impact on children's social adaptation and shape their long term social development.
- Resolução de problemas e procedimentos de descoberta em co-elaboração em crianças dos 4 aos 10 anosPublication . Botelho, Deolinda Melo Ferreira; Morgado, Luísa de Almeida; Pereira, FredericoInexistente
- Tarefas desenvolvimentais e bem-estar de jovens universitáriosPublication . Dias, Maria da Graça Fialho Figueiredo; Fontaine, Anne MarieA separação psicológica das figuras parentais, a construção da autonomia, o desenvolvimento da capacidade para a interacção amorosa e a consolidação da auto-estima, representam algumas das tarefas desenvolvimentais importantes no início da idade adulta. É natural que a resolução destas tarefas seja acompanhada de um sentimento geral de bem-estar psicológico. Contudo, é previsível que as oportunidades de desenvolvimento das competências que estas tarefas exigem não sejam idênticas para todos os indivíduos. Assim, este trabalho debruça-se particularmente sobre as diferenças que se manifestam ao nível da capacidade de resolução daquelas tarefas desenvolvimentais em função dos contextos de existência dos sujeitos, sobre as relações que as tarefas mantêm entre si e com certos indicadores de bem-estar psicológico. Num primeiro estudo, utilizando uma amostra de 530 estudantes universitários de vários estabelecimentos de Ensino Superior de Lisboa, dois instrumentos de avaliação de dimensões consideradas importantes para a construção da autonomia e a capacidade para a interacção amorosa foram construídos e validados, e alguns resultados, ainda exploratórios, foram analisados. Posteriormente, num segundo estudo, estes instrumentos foram administrados, conjuntamente com um inventário de separação em relação aos progenitores (PSI; Hoffman, 1984) e com outros instrumentos susceptíveis de avaliar certos aspectos do bem-estar psicológico, tais como a auto-estima global (Rosenberg) e a depressão (Zung), a uma amostra de 337 estudantes da Faculdade de Ciências e Tecnologia da Universidade Nova de Lisboa. Os resultados obtidos sugerem que os níveis de resolução destas tarefas aumentam com a idade. Sugerem também a sua associação mútua e a sua relação com o bem-estar psicológico. Além disso, observa-se uma influência positiva da qualidade da RESUMO tv_ relação com os pais, tal como é percepcionada pelo jovem, no grau da sua resolução. Na sua globalidade, os resultados estão de acordo com as previsões elaboradas a partir das teorias psicodinâmicas do desenvolvimento dos jovens. Contudo, foram observadas diferenças nítidas em função do género e do nível sócio-económico de pertença. Estas diferenças manifestam-se, quer no plano da resolução de certas tarefas, quer no plano da sua relação mútua. Acresce que os resultados indicam claramente que a autonomia e a separação psicológica são constructos relacionais que variam em função das pessoas implicadas na relação (pai, mãe, amigo, namorado). Assim, este trabalho contribui para a construção de uma visão mais fina do desenvolvimento do jovem adulto. Os diversos sistemas de relação observados entre certas tarefas desenvolvimentais no início da idade adulta e o bem-estar psicológico são indicadores do efeito moderador do contexto de existência nestas relações e sublinham a necessidade de ter em conta estas diferenças no decurso de intervenções junto de jovens universitários, particularmente no quadro da consulta psicológica.------ ABSTRACT ------ The psychological separation from parents, the autonomy construction, the development of the capacity for love interaction and self-esteem consolidation, are some of the important developmental tasks of young people. It may be expected that the resolution of these tasks goes with a general feeling of psychological well-being. Yet, it is predictable that the opportunities for developing the competences needed for these tasks are not the same for all individuals. Accordingly, this work examines the differences shown on the capacity level of resolution of the developmental tasks according to the subjects' living contexts, the developmental tasks' mutual relationship, and their association with psychological well-being. In a first study, two instruments of evaluation of dimentions considered important for autonomy construction and for the capacity for love interaction were constructed and validated, on a sample of 530 university students from several Colleges of Universities in Lisbon, and some still exploratory results were analysed. In a second study, these instruments, together with a parental separation inventory (PSI; Hoffman, 1984) and other instruments of evaluation of certain aspects of psychological well--being, such as global self-esteem (Rosenberg) and depression (Zung), were applied to a sample of 337 students from the Faculty of Sciences and Technology of the New University of Lisbon. The results obtained suggest the progression with age of the level of resolution of those tasks, and their mutual association and to psychological well-being. We also note the positive influence of the quality of the relationship with parents, as perceived by the youngster, on the tasks' resolution. Globally, the results agree with hypotheses elaborated according to young people's development psychodynamic theories. ABSTRACT i W_ Nevertheless, clear differences have been found depending on individual gender and socio-economic status, that manifest themselves either at the level of the several tasks' resolution, or at the level of their mutual relationship. The results also indicate that autonomy and psychological separation are relational constructs that vary according to the other persons implicated in the relationship (father, mother, friend, lover). Consequently, this study contributes to the construction of a more precise look on young aduits1 development. The several relational systems observed between certain developmental tasks of young adults and their psychological well-being are indicators of the living context's moderating effect on these relationships. They also underscore the need to consider these differences in the course of psychological interventions among young university students, in particular in the context of psychological counseling.
- Intervenção precoce: Estudos dos efeitos de um programa de formação parental destinado a pais de crianças com Síndroma de DownPublication . Coutinho, Maria Teresa Perlico Machado Brandão Pereira; Leitão, Francisco Alberto RamosInexistente
- Os jovens e os seus pares: Estudo sociométrico e psicopatológico de uma população escolarPublication . Oliveira, Cristina VillaresDa revisão da literatura sobre os relacionamentos das crianças e dos jovens com os seus pares, constata-se a existência de um sólido corpo de informação sobre a influência do grupo de pares no desenvolvimento, sobre a conexão entre os relacionamentos familiares e as capacidades sociais e adaptativas, sobre as formas de avaliação dos relacionamentos entre colegas (sendo as técnicas sociométricas as grandes privilegiadas), sobre os equivalentes cognitivo-comportamentais e afectivos dos estatutos sociométricos, e sobre a capacidade destes em prever risco de desajustamento no futuro. Mas constata-se igualmente a existência de informação escassa sobre a associação entre psicopatologia e a qualidade dos relacionamentos entre os jovens, área que todavia se mostra promissora na investigação em psicopatologia do desenvolvimento. O presente trabalho tem como objectivo ajudar à compreensão do nexo entre esses elementos e à comunicação sempre desejável entre esferas complementares do conhecimento. Na Escola 2,3 C/C do Ensino Básico de Anadia, foram avaliados sociometricamente, ao longo de três anos consecutivos, jovens do 5o ao 9o anos de escolaridade. No primeiro ano de estudo, foram incluídos 268 jovens, no segundo 454 jovens e no terceiro 393 jovens. Foi analisada a distribuição das populações pelos diferentes estatutos sociométricos (populares, médios, negligenciados, rejeitados e controversos) e, para cada um deles, foram examinados os padrões de interacção social. Foram aleatoriamente seleccionados 121 jovens no terceiro ano de estudo, distribuídos equitativamente pelos quatro estatutos sociométricos mais representativos, e foi também incluído o único elemento controverso. Foi aplicado um protocolo, junto dos jovens e professores, que procurou avaliar e quantificar elementos sobre a psicopatologia, condições sócio-familiares e adaptação escolar. Foi igualmente avaliada a estabilidade versus a mudança de estatuto sociométrico em anos consecutivos, e estudada a sua associação com a psicopatologia detectada. Os elementos obtidos são descritos e, sempre que possível, submetidos a análise estatística. Os resultados encontrados permitem extrair as seguintes conclusões: 1. O teste sociométrico é um método eficaz para medir os relacionamentos dos jovens com os seus pares e para detectar grupos relativamente homogéneos quanto ao funcionamento social, psicológico e académico. 2. Em qualquer grupo de jovens estudado, encontra-se uma percentagem estável de indivíduos que são sociometricamente populares, médios, negligenciados, rejeitados ou controversos. 3. O bom relacionamento com os colegas encontra-se associado a uma constelação de factores: bom nível de adaptação social e escolar, desempenho académico elevado, e satisfação pessoal. Pelo contrário, os grupos sociometricamente desfavorecidos (negligenciados e rejeitados) evidenciam maiores problemas nessas mesmas áreas. 4. Os grupos sociométricos que evidenciam bom relacionamento com os colegas (populares e médios) apresentam significativamente menos psicopatologia do que os grupos socialmente problemáticos. Apenas as perturbações de ansiedade tomam expressão na psicopatologia detectada nos grupos sociometricamente mais favorecidos. 5. O grupo sociométrico dos negligenciados aproxima-se significativamente mais do grupo dos rejeitados do que de qualquer outro em medidas de psicopatologia e desajustamento social e escolar. Distinguem-se, no entanto, pelo facto de o grupo dos negligenciados ser aquele que apresenta taxas mais elevadas de perturbações de ansiedade, enquanto que o grupo dos rejeitados é aquele que apresenta taxas mais elevadas de perturbações relacionadas com comportamentos disruptivos. 6. Os estatutos sociométricos apresentam estabilidade moderada quando avaliados dois anos consecutivos. O grupo dos rejeitados mantém-se fortemente estável ao fim de um ano. O grupo menos estável é o dos controversos. O dos negligenciados diferencia-se dos rejeitados por apresentar uma estabilidade menor. 7. Pela singeleza da sua aplicação e pela sua capacidade em discriminar os grupos potencialmente psicopatológícos, o teste sociométrico toma-se um método de eleição para detectar grupos de risco. Estes resultados podem constituir um subsídio para algumas linhas de investigação em psicopatologia do desenvolvimento, concorrendo para a detecção precoce de jovens em risco psicopatológico, para o esclarecimento dos factores subjacentes à psicopatologia, e para o delinear de estratégias e intervenções terapêuticas. Neste sentido, surgem como relevantes para futura investigação as seguintes hipóteses: A. Grande parte dos indivíduos sociometricamente mal posicionados apresenta psicopatologia, mas a relação causal desta associação não está determinada. Pode considerar-se que formas precoces de perturbação têm uma influência negativa nos relacionamentos interpessoais dos jovens, ou pelo contrário considerar-se que os jovens com dificuldades nos relacionamentos interpessoais se tomam desproporcionalmente vulneráveis aos factores de stress normativos e não-normativos. B. O isolamento social, mesmo sem a existência de rejeição activa, pode ser considerado como um factor de risco. Pode assim considerar-se o estatuto sociométrico condicionado por esse tipo de dificuldades nos relacionamentos, o estatuto dos negligenciados, como um grupo potencialmente em risco. C. Embora uma parte dos jovens sociometricamente mal posicionados apresente uma evolução favorável, não são conhecidos os factores que determinam esse desfecho. Poderá haver uma relação com um isolamento temporário, ao invés dos efeitos mais negativos de um isolamento continuado. D. Atendendo a que os grupos dos populares e dos médios não diferem na sua adaptação psico-social, poderá não ser necessário um grau de aceitação pelo grupo superior ao normal para que a vida social na escola seja benéfica. E. O teste de percepções sociométricas, ao medir a tele, ou a capacidade do indivíduo perceber correctamente as escolhas de que é alvo, pode igualmente permitir a medição da capacidade do indivíduo em experienciar afectos, positivos ou negativos, com um mínimo de distorção perceptual.
- Estudos sobre a intervenção precoce em Portugal: ideias dos especialistas, dos profissionais e das famíliasPublication . Tegethof, Maria Isabel Silva Chaves de Almeida; Bairrão, JoaquimEste trabalho pretende traçar uma panorâmica geral da situação da intervenção precoce (IP) e da utilização do modelo de intervenção centrado na família (ICF) em Portugal e tentar perceber até que ponto a prática desenvolvida se enquadra num modelo sistémico e bioecológico de prestação de serviços e naquelas que são, neste âmbito, as práticas recomendadas baseadas na evidência. O fenómeno em análise – o desenvolvimento de programas de intervenção precoce dentro de um modelo de intervenção centrado na família – é estudado com base (1) no testemunho de especialistas e de profissionais de intervenção precoce de todo o país (à excepção da região do Algarve), bem como (2) num estudo de caso, com o objectivo, não de demonstrar os efeitos de uma prática com vista à sua generalização, mas de compreender essa prática de uma forma mais descritiva e processual, identificando eventuais áreas a aperfeiçoar. Com este objectivo, desenvolveu-se um estudo exploratório com um desenho de modelo misto paralelo, que recorre em simultâneo a abordagens qualitativas e quantitativas, dentro das várias fases da investigação e que integra dois estudos complementares: O Estudo I – Estudo das Ideias - um estudo qualitativo em que se analisam as ideias de 10 pessoas-chave e de 209 profissionais pertencentes a 39 equipas de intervenção precoce de todo o país, sobre a temática da intervenção precoce, e, em particular, da intervenção centrada na família, assim como sobre a forma como esta está a ser implementada, as dificuldades encontradas, o papel dos profissionais e o papel da família. O Estudo II – Estudo das Práticas - um estudo de caso, de carácter exploratório e descritivo, com um desenho longitudinal transverso, com o objectivo de perceber de que forma o fenómeno em análise - o desenvolvimento de programas de intervenção precoce dentro de um modelo de intervenção centrado na família – é posto em prática num contexto específico e qual o seu efeito junto das famílias. A primeira conclusão que retirámos é que existe uma concordância importante no que diz respeito ao quadro que é possível traçar a partir das informações recolhidas aos três diferentes níveis: especialistas de IP, equipas/profissionais de IP de todo o país (à excepção do Algarve) e estudo de caso. Verificou-se que existe uma assimilação grande em relação aos conceitos teóricos genéricos subjacentes à prática da IP e da ICF, mas dificuldade na sua operacionalização. No entanto, as famílias valorizam as componentes do programa que mais se aproximam da ICF e, de um modo geral, tanto as mães como os técnicos mostram desejar uma participação mais activa da família, mostrando-se os técnicos mais exigentes. O trabalho no sentido de promover o desenvolvimento da criança foi uma componente importante da maioria das intervenções, sendo bastante valorizada pelas famílias. No seu conjunto, constatou-se que as práticas destes profissionais correspondem às principais características da componente relacional das práticas de ajuda centradas na família, mas têm ainda muitas lacunas no que diz respeito à componente participativa dessas mesmas práticas, tais como elas são entendidas dentro do modelo de intervenção precoce de terceira geração, baseado na evidência (Dunst,2000b, 2005a,b). Os aspectos identificados como mais problemáticos são: o envolvimento activo das famílias, a utilização do Plano Individualizado de Apoio àFamília (PIAF), a mobilização e fortalecimento das redes de apoio social da família, nomeadamente, das informais, a constituição de uma rede integrada de serviços e de recursos a funcionar na comunidade, e a intervenção com as famílias de risco ambiental. Detectaram-se, ainda, algumas especificidades na caracterização que foi possível fazer das várias regiões do país (à excepção do Algarve), que seria interessante explorar noutros estudos, utilizando amostras representativas. Na análise das mudanças nas crianças e famílias do estudo de caso, identificadas pelos profissionais e famílias, verificou-se que as intervenções parecem ter tido efeitos positivos no que se refere à criança, mas não introduziram mudanças a nível da família. Esta, no entanto, mostra-se genericamente satisfeita com a intervenção. Desta análise ressaltou, ainda, a necessidade de se intervir de forma diversificada, tendo em conta as características das diferentes problemáticas. Foram ainda realçadas várias áreas possíveis de identificar como necessitando de ser melhoradas, nomeadamente, a nível: da elegibilidade, da utilização do PIAF, da mobilização das redes de apoio social da família, da colaboração sistemática com os outros recursos e serviços direccionados para as crianças dos 0 aos 6 anos e suas famílias, da formação e supervisão dos profissionais e da investigação, tendo sido sugeridas várias hipóteses de pesquisa. No final teceram-se algumas considerações sobre o trabalho desenvolvido e as suas limitações.
- Vinculação e adopçãoPublication . Salvaterra, Maria Fernanda Amador da Silva; Veríssimo, ManuelaO estudo da vinculação em crianças adoptadas é de extrema relevância para a teoria da vinculação uma vez que permite avaliar a qualidade da vinculação e o seu desenvolvimento em famílias nas quais não há partilha da mesma informação genética nem da mesma história familiar. A presente investigação teve como objectivo geral o estudo da vinculação na adopção. Pretendemos caracterizar as famílias adoptivas, a dinâmica familiar em torno da adopção e as relações de vinculação das crianças com os seus pais. Tínhamos ainda como objectivos principais avaliar se a representação da vinculação (MDI) da mãe adoptiva e se a idade da criança à data da adopção prediziam a qualidade da vinculação. Participaram neste estudo 106 crianças adoptadas e suas famílias adoptivas (N=106), de um universo de 540 crianças de 461 famílias que adoptaram no Distrito de Lisboa (excepto cidade de Lisboa) entre 1984 e 2004. Utilizámos a Entrevista sobre o Processo de Adopção – EPA (J. Palácios, E. M. Sanchez Espinosa y Sanchez Sardoval, Universidad de Sevilha, 1995) para caracterizar o processo de adopção, o AQS (Waters, 1995) para a caracterização da qualidade de vinculação criança-mãe, as Narrativas Maternas (H. Waters & Rodrigues-Doolabh, 2001) para aceder ao modelo interno da mãe e o Infant Characteristics Questionnaire –ICQ (Bates, 1980) para avaliação do temperamento. Os resultados obtidos estão de acordo com acordo com Bowlby e Ainsworth quando referiram, ao longo dos seus trabalhos, o importante papel que a sensitividade materna tem na construção de uma vinculação segura e suportam um dos princípios básicos da teoria da vinculação, o conceito de transgeracionalidade, em que o modelo interno da mãe é tido como um factor mediador da qualidade da prestação dos cuidados/interacção que esta estabelece com o seu filho(a), o que se reflecte na qualidade de vinculação das crianças. Não foi encontrada relação entre a idade da adopção e a qualidade da vinculação. Estes factos sugerem que a adopção parece proporcionar às crianças cujos pais biológicos não quiseram ou não puderam assumir a parentalidade, um ambiente de suficiente qualidade, oferecendo-lhes novos modelos relacionais, que funcionam como factores de protecção contra o risco genético, e possibilitando o estabelecimento de relações de vinculação seguras, independentemente da idade da adopção e da sua história.
- Sucesso no envelhecimento e histórias de vida em idosos sócio-culturalmente muito e pouco diferenciadosPublication . Amado, Nuno Maria Bleck da Silva; Diniz, António Augusto Pinto MoreiraAs alterações demográficas das últimas décadas, bem como o espantoso aumento da esperança média de vida, levaram a que o grupo etário com maior crescimento seja, actualmente, o das pessoas com mais de 65 anos (Instituto Nacional de Estatística, 2007). É, pois, cada vez mais fundamental a compreensão dos processos envolvidos no envelhecimento, dos requisitos necessários para o seu sucesso e dos obstáculos que o impedem. Tendo em conta que os factores socio-económicos e culturais afectam a vivência do envelhecimento, pretendeu-se contrastar dois grupos sócio-culturalmente muito e pouco diferenciados, através da realização de dois estudos sobre o sucesso no envelhecimento. Para o primeiro estudo, de cariz quantitativo, recorreu-se a uma amostra de 194 adultos idosos voluntários com idades compreendidas entre os 65 e os 100 anos (M =76). Foram elaborados e testados dois modelos preditores do sucesso no envelhecimento. Estes modelos continham, como variáveis exógenas, a posição social, o género, e a pertença à terceira ou quarta-idade. Como variáveis endógenas, a sabedoria, os comportamentos de selecção, optimização e compensação (SOC), a força da fé e o bem-estar subjectivo (BES). No primeiro modelo proposto (A), o BES foi operacionalizado através do cálculo do bem-estar total, que integrava afectos positivos, afectos negativos e satisfação com a vida. No segundo modelo (B), o BES foi operacionalizado através de duas variáveis, os afectos negativos e o bem-estar positivo, integrando afectos positivos e satisfação com a vida. Através da modelação de equações estruturais (LISREL 8.53; Jöreskog & Sörbom, 2002), e após a validação factorial das provas que operacionalizaram as variáveis endógenas dos modelos, verificou-se que todos os preditores do bem-estar total eram estatisticamente significativos. Os homens, os sujeitos de posição social elevada, os que atravessavam a terceira-idade e os que demonstravam níveis elevados de comportamentos SOC, sabedoria e força da fé, mostraram maior bem-estar total. No modelo B, as mulheres, os sujeitos na quarta-idade, e os com pouca força da fé mostraram maiores níveis de afectos negativos, ao passo que os sujeitos de posição social elevada, com níveis elevados de sabedoria e comportamentos SOC mostraram maior bem-estar positivo. A presença de afectos negativos revelou-se associada a um menor bem-estar positivo. O segundo estudo, de carácter qualitativo, envolveu a realização de seis histórias de vida junto de participantes do primeiro estudo que haviam revelado níveis extremos de bem-estar total. Na análise das histórias de vida, além de se recorrer às categorias predefinidas propostas por McAdams (1993), e às associadas aos modelos de sucesso no envelhecimento, identificaram-se outras categorias, emergentes do discurso dos sujeitos. Estas análises realçaram a necessidade de atender à singularidade de cada adulto idoso, tendo-se verificado a imensa influência das relações sociais e do contexto cultural no desenvolvimento. Ao contrário dos sujeitos de baixo bem-estar total, que centravam o seu discurso em problemas de saúde, os de elevado bem-estar total pareciam ser capazes de atribuir significado e coerência à sua vida, inclusive face às dificuldades e à doença. A complementaridade dos dois níveis de análise utilizados, nomotético e ideográfico, mostrou-se fecunda para o estudo do sucesso no envelhecimento. Dos estudos realizados destaca-se a importância da posição social, género, pertença à terceira ou quarta-idade, força da fé, sabedoria, e, especialmente, dos comportamentos SOC, para a compreensão e a intervenção no sucesso no envelhecimento.
- A competência social da criança em meio pré-escolar: Um modelo hierárquico no contexto das relações entre paresPublication . Peceguina, Maria Inês Duarte; Santos, António JoséIntegrados numa moldura desenvolvimental, os estudos apresentados nesta investigação avaliam um modelo de medidas para a competência social com os pares, durante o período pré-escolar. A competência social é definida como um traço latente de diferenças individuais que reflecte a capacidade das crianças para coordenar os afectos, cognição, e comportamento na realização de objectivos pessoais de natureza social (Waters & Sroufe, 1983). Adicionalmente, a concretização dos objectivos pessoais não deverá constituir um obstáculo à concretização dos objectivos pessoais dos pares, nem limitar a realização de objectivos futuros. O modelo de mensuração caracteriza-se por ter uma estrutura hierárquica de três níveis, onde a competência social se situa no nível de topo, enquanto factor latente de segunda ordem, com implicações nos três domínios da competência social, situados no nível latente inferior – motivação social e envolvimento, perfis de atributos comportamentais e psicológicos e aceitação de pares. Cada um destes domínios (as famílias de medidas) é medido através de dois ou três indicadores, constituindo a base do modelo (i.e., proporção de atenção visual recebida, proporção de interacções positivas e neutras iniciadas, dois Q-sorts da competência social, e duas medidas sociométricas). Foram testadas hipóteses sobre o ajustamento do modelo a dados Portugueses, bem como sobre a estabilidade do modelo durante o pré-escolar foram testadas. De um modo geral, os resultados foram consistentes com estudos anteriores (e.g., Bost, Vaughn, Washington, Cielinski, & Bradbard, 1998; Vaughn, 2001; Vaughn, et al., 2009), indicando que o modelo tem um bom ajustamento aos dados das crianças portuguesas. Adicionalmente, os resultados sustentam o pressuposto de que, embora pequenas diferenças de natureza cultural, desenvolvimental e de contexto social possam ocorrer ao nível das medidas (o nível base do modelo), a estrutura hierárquica é idêntica ao longo destas dimensões, uma vez que os domínios sociais considerados são considerados como universalmente relevantes para crianças desta faixa etária (i.e., entre os 3 e os 5 anos). A característica que melhor distingue o modelo hierárquico é que, contrariamente a outras abordagens, diversos conteúdos essenciais são considerados, e diversos tipos de instrumentos (e níveis de análise) são utilizados de modo a que seja possível obter uma descrição global da competência social (i.e., sem os constrangimentos situacionais, contextuais, ou dependentes de determinadas habilidades sociais). Como resultado, a avaliação da estabilidade é também possível. As relações entre a competência social, a amizade recíproca e o estatuto sociométrico (duas variáveis frequentemente utilizadas na avaliação da competência social das crianças) foram também exploradas no último estudo. Entre outros resultados, verificou-se que as medidas do modelo apresentavam maior estabilidade de um ano para outro, quer em comparação à amizade, quer ao estatuto sociométrico, sugerindo que a avaliação obtida através do protocolo de medidas é mais abrangente e consistente. As limitações de cada estudo, bem como orientações para futuras ---------- ABSTRACT ---------- Embedded in a developmental framework, the studies presented in this research investigate a measurement model for social competence with peers, during the preschool years. Social competence construct is described as an individual differences latent trait that reflects children’s ability in coordinating affect, cognition, and behavior in achieving personal social goals (Waters & Sroufe, 1983). Moreover, the attainment of personal goals should not excessively constrain peers’ opportunities in achieving their own social goals, or reduce the chances for the achievement personal social goals in the future. The measurement model characterizes by having a three-level hierarchical structure, where social competence is placed at the top level, as a second-order latent factor influencing three lower social competence domains – social motivation and engagement, profiles of behavioral and psychological attributes, and peer acceptance. Each of these domains (the measurement families) is measured using two or three indicators, which constitute the base level of the model (i.e., rates of visual attention received, rates of positive and neutral interactions initiated, two social competence Q-sorts, and two sociometric measures). Hypothesis regarding the fit of the model to Portuguese data, as well as the stability of the model across the preschool years were tested. Overall, results were consistent with prior studies (e.g., Bost, Vaughn, Washington, Cielinski, & Bradbard, 1998; Vaughn, 2001; Vaughn, et al., 2009), indicating that the model has a good fit to Portuguese preschool data. Results also support the assumption that, even though small differences associated with cultural, developmental, and social contexts variability may occur at the base level of the model (i.e., the observed measures/indicators), the hierarchical structure is identical across these dimensions, because the social domains considered are thought to be universally relevant to children at these ages (i.e., between the ages of 3-, and 5-years) The most distinguishable feature of the hierarchical model is that, contrary to other approaches, several main issues are taken into account, and several types of instruments (and levels of analyses) are used so that a broad characterization of social competence (i.e., non situational, or contextual, or skills’ based) is possible. As a result, the assessment of stability is also possible. The relations between social competence, friendship reciprocity, and sociometric status (two variables frequently assessed in the evaluation of children’s social competence) were also explored in the last study. Among other findings, the model’s measures was found to be more stable than both friendship and sociometric status, indicating that a broader and consistent assessment is given by the protocol of measures that are used in model operationalization. Limitations of each study and future directions of research are presented in the discussion section of each work, as well as in the general discussion.
- Emotion regulation in child-mother dyads: A psychobiological approachPublication . Roque, LisaEste trabalho tem como objectivo o estudo da regulação emocional em díades mãe-criança, sob uma perspectiva psicobiológica, ou seja, a análise das relações entre processos internos (temperamento e actividade adrenocortical) e externos (representações de vinculação maternas e comportamentos de base segura das crianças), durante diferentes contextos situacionais (medo, afecto positivo, frustração/raiva) e sociais (constrangimento e envolvimento maternos). Cinquenta e cinco crianças entre os 18 e os 26 meses da idade e respectivas mães participaram neste estudo. As estratégias comportamentais de regulação emocional, a expressividade e intensidade emocionais das crianças foram estudadas através do Paradigma de Regulação Emocional (Diener, & Mangelsdorf, 1999 a, b). Os comportamentos de base segura das crianças e as representações de vinculação das mães foram avaliadas através do “Attachment Behavior Q-Set” (Waters, 1995) e pelas Narrativas de Representação da Vinculação em Adultos (Waters, & Rodrigues-Doolabh, 2004), respectivamente. O temperamento das crianças foi avaliado através do “Bate’s Infant Characteristics Questionnaire” (Bates, Freeland, & Lounsbury, 1979; adaptação portuguesa por Soares, Rangel-Henriques, & Dias, 2009). Finalmente, as respostas adrenocorticais das crianças e das mães foram avaliadas através de amostras de saliva e analisadas através de ensaios de luminoimunoiscência (LIA). Os resultados revelaram que, de um modo geral, as estratégias comportamentais das crianças variaram, significativamente, em função do contexto situacional (as crianças exibiram mais estratégias durante os episódios de afecto positivo e frustração/raiva, em comparação com os de medo) e envolvimento materno. A expressividade emocional das crianças variou em função do contexto situacional (as crianças exibiram maior expressividade emocional, positiva ou negativa, durante os episódios de medo e frustração/raiva e menos durante os de afecto positivo) e de interacções entre a expressividade emocional e o envolvimento materno. A intensidade emocional revelou variações em função de uma interacção entre o contexto e o envolvimento materno. As estratégias comportamentais e a expressividade emocional das crianças também se diferenciaram significativamente em função da qualidade da relação de vinculação às mães. As representações maternas sobre a vinculação além de serem predictoras dos comportamentos de base segura das crianças crianças, também influenciaram significativamente a expressividade e a intensidade emocionais destas. As respostas adrenocorticais das crianças e das mães variaram significativamente, em função da qualidade de vinculação das crianças. As representações maternas sobre a vinculação influenciaram significativamente os níveis de cortisol das mães, assim como os das crianças (de um modo marginal). A qualidade do temperamento das crianças revelou associações significativas com as estratégias comportamentais e com as respostas adrenocorticais das crianças e das mães. Os resultados são discutidos, analisando possíveis implicações, limitações e futuras linhas de investigação. ---------- ABSTRACT ---------- This work studies emotion regulation in child-mother dyads from a psychobiological perspective, particularly, the study of the relationships between internal (temperament and adrenocortical activity) and external processes (mothers’ attachment representations and children’s secure base behaviours), during different situational (fear, positive affect, frustration/anger) and social (mother constrained and involved) contexts. Fifty-five children between 18 and 26 months of age and their mothers participated in this study. Children’s emotion regulation behavioural strategies, emotional expressiveness and intensity were studied through the Emotion Regulation Paradigm (Diener, & Mangelsdorf, 1999 a, b). To assess children’s secure base behaviours and mothers’ attachment representations the Attachment Behaviour Q-Set (Waters, 1995) and the Adult Attachment Representation Narratives (Waters, & Rodrigues-Doolabh, 2004) were used, respectively. Children’s temperament was evaluated by the The Bate’s Infant Characteristics Questionnaire (ICQ), (Bates, Freeland, & Lounsbury, 1979; portuguese adaptation by Soares, Rangel-Henriques, & Dias, 2009). Finally, children’s and mothers’ adrenocortical activity were assessed from salivary cortisol and analyzed through luminoimmunoassay (LIA) kits. Results revealed that overall, toddlers’ regulatory strategies varied as function of emotion-eliciting context (children exhibited more strategies during positive affect and frustration/anger episodes and less during fear episodes) and maternal involvement. Toddlers’ emotional expressiveness varied as function of emotion-eliciting context (children exhibited more emotional expressions either negative or positive, during fear and frustration/anger episodes and less during positive affect episodes) and as result of interactions between emotional expressiveness and maternal involvement. Emotional intensity varied as function of an interaction between context and maternal involvement. Children’s behavioural strategies and expressiveness also differed significantly as function of attachment security to their mothers. Mothers’ attachment representations not only predicted their children’s secure base behaviours, but also influenced their expressiveness and emotional intensity, in a significant way. Children and mothers’ adrenocortical responses were significantly influenced by children’s attachment security. Mothers’ personal attachment representations influenced significantly their own cortisol responses, as well as their children’s (in a marginal significant way). Children’s temperament quality showed significant associations with toddlers’ behavioural strategies and children and mothers’ adrenocortical activities. Possible implications, limitations and future research lines and discussed.
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