Mazzega-Bachelet, Anne-Marie2016-08-312016-08-312008Gradiva, 11(2), 115-126873-2701http://hdl.handle.net/10400.12/4852Ce texte a été écrit en hommage à l’Italie, un pays si nourri d’art en général, si amoureux des belles voix en particulier, qu’il a toléré pendant au moins deux siècles, en particulier au 17ème et 18ème siècles, l’âge baroque, la mutilation d’environ 3000 à 4000 jeunes garçons chaque année, afin de créer les plus étranges de toutes les voix de chanteurs, les voix de castrats.fraAnthropologie littéraireLa voix du castrat ou le sexe de l’angejournal article